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Quotidien : Jean-Michel Aphatie déclenche la colère de Yann Barthès

Léna Vdcr
Par
Rédactrice - Experte TV & People
Publié le 13/06/2024 à 21:31 Mis à jour le 14/06/2024 à 00:22

En cette période politique instable en France, Quotidien accueille les têtes de liste des élections législatives. Mais l’animateur Yann Barthès est obligé d’intervenir lors d’un débat en plein direct.

Difficile pour les talk-shows de maintenir une ambiance festive et joyeuse sur les plateaux d’émission. Et il en est de même pour Quotidien sur TMC. En effet, depuis l’annonce des élections législatives, les sujets tournent essentiellement sur la situation politique française.

Pour informer au mieux les téléspectateurs de cette actualité turbulente, les médias invitent les têtes de liste des différents partis. Par conséquent, c’est une atmosphère sérieuse et froide qui s’installe sur le plateau de Quotidien . Et Yann Barthès joue son rôle de journaliste plus que jamais.

Une situation qui chamboule le comportement de Yann Barthès

L’émission Quotidien est un média qui a pour but d’éclairer le public sur les affaires nationales et internationales. Néanmoins, il arrive que Yann Barthès et son équipe de chroniqueurs soient touchés par l’actualité française. En effet, ce mardi 11 juin 2024, l’animateur n’a pas su cacher sa tristesse.

Après les résultats des élections européennes et l’annonce de la dissolution par le président Emmanuel Macron, Yann Barthès a ironisé sa déception en disant : « Bon, on est d’accord ? C’est toujours le bordel ». Puis il se met à se déhancher sur du disco en ajoutant : « Ne m’en voulez pas si j’ai envie de danser ». Mais après la tristesse, c’est la colère qui va prendre place.

Yann Barthès recadre son chroniqueur de Quotidien

Ce jeudi 13 juin 2024, Quotidien accueille Gabriel Attal, en pleine campagne pour les élections législatives. C’est alors qu’une discussion des plus sérieuses se déroule entre le Premier ministre et l’animateur. Néanmoins, certains chroniqueurs interviennent, ce qui agace Yann Barthès.

Yann Barthès demande à Gabriel Attal à quoi va ressembler la France après le 8 juillet 2024. Ce à quoi l’intéressé répond qu’il n’espère pas que ce soit comme pour les élections européennes. Jean-Michel Aphatie le coupe : « L’extrême droite c’est une possibilité ». Et il ajoute : « Comme ils ont gagné les élections européennes… ». Mais le présentateur le recadre en disant plusieurs fois : « Personne ne peut le dire » en regardant avec insistance son chroniqueur.

Quotidien est diffusée sur TMC du lundi au vendredi, à partir de 19h20.