Margot Laffite (Canal+) : ce choix radical qu’elle a dû faire pour lancer sa carrière
Le Grand-Prix de Belgique, diffusé le dimanche 30 juillet 2023 sur Canal+, verra le retour dans le paddock de Margot Laffite. La journaliste a expliqué pourquoi elle s’est orientée vers le journalisme et non le pilotage comme son père.
Ce dimanche 30 juillet 2023, le Grand-Prix de Belgique de Formule 1 est diffusé sur Canal+. La chaîne va une nouvelle fois faire la part belle aux sports automobiles avec le magazine Grand Prix à 13h17, puis La Grille à 13h17 à partir de 13h54, où ses équipes vont donner aux téléspectateurs toutes les choses à savoir avant la course.
La course en elle-même débutera à 15 heures, elle sera suivie du podium à 16h45 puis du magazine Formula One à partir de 16h58. La course sera commentée par Julien Fébreau et Franck Montagny, ils passeront ensuite la main à Margot Laffite dans le paddock.
Pierre Gasly, héros d’Alpine sur Canal+
Le week-end a été chargé pour les pilotes, qui ont disputé les qualifications le vendredi 28 et une course sprint le samedi 29 juillet 2023. Retardée par la pluie, cette course beaucoup plus courte qu’un Grand-Prix classique a vu Max Verstappen glaner une nouvelle victoire.
Alors qu’Alpine vit un week-end chargé avec un changement d’organisation interne et plusieurs départs, Pierre Gasly a remonté le moral de l’écurie française avec une belle troisième place. Lewis Hamilton a en revanche accusé le coup en étant sanctionné de cinq secondes de pénalité après un accrochage avec Sergio Perez.
Margot Laffite, du pilotage au journalisme
Le dimanche 23 juillet 2023, Canal+ avait également diffusé le Grand-Prix de Hongrie, où le pilote néerlandais avait également gagné. Proposés entre 15h03 et 17 heures, la course et le podium ont attiré 881 000 personnes, soit 8,3% du public. 27,3% des abonnés à Canal+ ont suivi l’épreuve.
Après plusieurs absences, Margot Laffite est de retour dans le paddock. Fille de l’ancien pilote de F1 Jacques Laffite, elle avait expliqué à Toutelatele pourquoi elle s’était orientée vers le journalisme : "Il a bien fallu que je fasse un choix. Peu de pilotes en France parviennent à le rester à temps plein. Et, surtout, ceux-là ont un niveau tout autre que le mien ! Soyons réalistes, même si je m’appelle Laffite, j’ai toujours su que je ne serai jamais engagée dans une écurie officielle ».